vendredi 31 octobre 2014

Les solutions existent

Sûr, les solutions existent, mais l'immobilisme, la politique, la corruption, sont des freins à tout développement, à tout changement.
Ici, les responsables n'osent pas envisager des changements. Ilsa ont peur que le château de carte s'écroule, donc on ne touche à rien on ne change rien et en politique, on prône l'immobilisme, le statu quo, de peur de se mettre à dos une certaine partie de la population.
Ainsi, en est-il des moyens de transport, des routes dégradées, des gendarmes couchés, des clôtures des villages, des gardes qui pullulent, etc.

Lutter contre la pollution

Pollution des eaux, de l'air, il serait temps de se mobiliser.
On ne voit rien de bien concret.
Par contre, que ce soit à Puerto Galera, à Boracay ou encore à  Apo Island, les autorités locales ne se gênent pas d'encaisser des taxes pour la protection de l'environnement.
De qui se moque-t-on ?
Ceux qui passent à la caisse ce sont les touristes et non pas les locaux qui sont bel et bien les pollueurs.
On devrait refuser de payer car ce n'est pas normal.

jeudi 30 octobre 2014

On aime ou on déteste

Ce qui est étrange avec les Philippines, c'est que ceux qui donnent leur avis sur ce pays, les uns l'adorent, les autres le détestent, pas de milieu.
Bien des amis qui y ont séjourné plus ou moins longtemps ont dit, à leur départ, qu'ils étaient contents de quitter  le pays. Mais, à peine, ailleurs, ils ont manifesté leur nostalgie du pays qui les avait accueillis.
Ils sont, pour la plupart, revenus, en vacances, tout du moins.

Va-t-on de l'avant, fait-on du sur place ou recule-t-on, ici, aux Philippines ?

Bien sûr, quand on regarde les nouvelles constructions autoroutières, on aurait tendance à dire que l'on va de l'avant.
- Mais que dire de la multiplication presque sans limite, des transports publics inconfortables, bancas, bus âgés, tricycles et jeepneys ? Personnellement, je trouve ces moyens de transports totalement inadaptés, polluants et dangereux.
- Quand je me rendais régulièrement de Manille à Puerto Galera, il y a plus de 10 ans, c'était mieux qu'actuellement. À Batangas, on avait le choix entre un ferry, un vieux Si-Kat en bois, sympa, deux vedettes et des bancas, seul moyen pour traverser actuellement. Ces dernières embarcations ne sont vraiment pas adaptées pour traverser le chenal. Elles sont, en outre, inconfortables. Il ne faut pas être handicapé pour embarquer.

mercredi 29 octobre 2014

Trop de sécurité tue la sécurité

Quand on quitte les Philippines et que l'on se rend dans un autre pays, tout de suite, on est étonné de ne pas voir autant de garde que dans le pays que l'on a quitté.
Trop c'est trop. On en voit partout et en trop grand nombre, c'est à la limite du supportable.
Dommage.
En tout cas je ne me sens pas plus en sécurité, pour sûr.

Villages fermés

Je fais du vélo à Manille et je regrette bien que l'on ne puisse pas passer d'un point à un autre en empruntant la ligne la plus droite.
Dieu sait ce que doit dire dans ce registre un automobiliste !
Les villages sont clôturés, impossible de traverser certains, plutôt dire la plupart.
C'est pénible et bien gênant.

mardi 28 octobre 2014

La corruption

Sûr, comme dans bien des pays en voie de développement, les Philippines sont gangrénées par la corruption.
Il n'y a qu'à voir ce que les populations touchées par les cataclysmes ont reçu comme aide des autorités, des broutilles.
Et encore certains attendent toujours, après des mois et des mois d'attente.

On peut rêver

Je rêve d'avoir une baie de Manille, propre,
c'est possible,
il existe des solutions, mobiliser la population pour éviter les déchets et participer au nettoyage
En outre, des plantes, des bactéries pourraient aider à rendre les eaux moins polluées.

Je rêve de voir des Philippins soucieux de protéger leur environnement et ça commence à l'école,
c'est toujours possible.

lundi 27 octobre 2014

L'anglais aux Philippines

Je ne suis pas le seul à constater qu'il est de plus en plus difficile de se faire comprendre.
Quand je suis arrivé, il y a plus de 20 ans, mon anglais suffisait pour se faire comprendre, ce n'est plus le cas.
Dans les magasins, au téléphone, vos interlocuteurs vous fuient si vous ne parlez que l'anglais.